Rhodophile Gravereaux (III)
Publié le 27 Janvier 2010
Donc, la Rhodophile Gravereaux. J'ai retrouvé la tête de Jules dans un ancien livre
"Les plus belles roses au début du XXème siècle" publié en 1911 par la section des Roses de la Société Nationale d' Horticulture de France, chez Charles Amat , Libraire-Editeur (esquellent au demeurant) 11 rue Mézières à Paris. ouvrage couronné, est-il bon de le rappeler, du prix Joubert de l' Hiberderie. Nicolas Augustin Joubert de L' Hiberderie créateur textile publia " Le Dessinateur Pour les étoffes d'or, d'argent et de soie" à Paris en 1765.
La section des Roses de la SNHF (1911) où la bonnée attentive retrouvera le bon Cochet-Cochet de Coubert et du blanc double éponyme.
en otant le papier de soie, protecteur des chromolithogravures, on découvre chez tous ces mâles, la féminine engeance étant probablement - à l'époque- trop écervellée pour intégrer le bureau, de notre temps on y trouverait bien un poste de secrétaire, on découvre donc du poil, du dru, du touffu, du viril, en particulier l'ami Jules Gravereaux
qu'en a, sauf votre respect, une très grosse.
Rhodophile Gravereau ? par LaMTSA
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Un "x" à Gravereaux.